Emporté par le vent,
Mon esprit plane
Parmi d'autres
Dons le Cosmos,
Dans le bonheur
Dans Ia souffrance.
Je pénètre dans un trou noir
bons le néant
Sons espoir,
Mais...
Je ressors vivant
Avec des idées noires
Qui me traversent cerveaux
Et,
compliquent mon existence,
Dans ce monde
Qui nous appelons Terre.
Ce monde
Compiètement traumatisé
Par ces guerres sons fin,
Qui ne finissent jamais.
Ce tas d'ordures,
Ce tas de merde,
Ce tos d'excréments.
Ces idéologies pourries
Complètement défasers
Ces pitres
Ces pantins,
Ces idiots,
Ces chiens
galeux
Sons cosur,
Sons ame,
Dons leurs
têtes
Pourries
par tant d'haine.
Comme des
lumes tranchantes
Qui
coupent, même les diamants.
Ces coeurs de pierre,
Ces têtes d'acier
Qui voient le mal
Se planifier.
César Carvalho
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